Rencontre entre gens de pouvoir

Alors que la nuit enveloppait le château, la pale lueur du croissant de lune illuminait à peine la quiétude apparente du palais. Apparente, uniquement. Un individu venait de pénétrer dans l'enceinte du bâtiment. Non pas en s'infiltrant tel un voleur, mais bien apr lla grande porte, terrassant les gardes qui voudraient lui barrer la route.
Vayne marchait, épée dans son fourreau, la main sur le pommeau de son arme. Deux gardent vinrent à sa rencontre, hallebarde en main.

(G1) "Halte là, ne faites plus un pas !"

(G2) "Déposez votre et mettez vous à genoux !"

Vayne resta impassible, mieux encore, il toisa du regard les deux gardes.

" Auriez vous aussi l'outrecuidance de vous mettre entre mon trône et moi ?"

(G1) "Pour l'impératrice !"

Les deux gardes chargèrent l'homme qui n'eut d'autre choix de répliquer. Il esquiva la garde venant sur sa droite en faisant un pas sur sa gauche, il dégaina son arme et le frappa au niveau de la nuque. Malgré l'armure, la tête roula par terre. Puis il para l'arme du second. Sa force était telle qu'il le désarma sans trop de problème. Il l'attrape par la gorge et commença à l'étrangler. Mais il le laissa en vie, juste inconscient.

Après plusieurs minutes, Vayne arriva finalement à la salle du trône ou personne ne l'y attendait. Il s'assoit sur le trône en question et attendit : il savait depuis les mois qu'il se trouvait ici que le pays était diriger de main de fer par une impératrice. Il allait désormais vérifier si elle était vraiment comme le disait les rumeurs, si elle convenait à Vayne. Sinon, il s'en occuperait comme il s'est occupé de son père...[i]

Yahely déboula dans la salle du trône. Elle lança un couteau rapidement. Il se planta dans son trône, juste derrière ce merdeux qui venait la gonfler. Elle s'approcha de lui et le gifla avec une puissance inouïe. Sa jambe se leva et un mawachi le vira du trône, le faisant saigner de la joue. La reine prit place et observa celui qui y était allé trop fort. Reprenant son calme elle sussura :

- Alors mon tout beau, tu veux jouer avec moi ? Tu n'es qu'une poussière dans les innombrables salauds dans ton genre que j'ai tué tu entends ?

Le poignard se rangea docilement. C'était clair, l'impératrice avait envie de le tuer, mais elle se contint, il était mignon après tout, chiant, mais mignon.

- Maintenant, tu t'explique et tu dégages, sinon, tu vas gouter a ma fureur espèce de microbe.

Yahely eut un petit sourire. Ce qu'il était naïf... Il la prenait vraiment pour une idiote qui s'était emparée du trône par hasard ? Ou comme une jolie fille qui allait devenir son jouet ? Elle sussura doucement :

- Mon pauvre chéri, tu es vraiment drôle tu sais ?

Dix petits poignards sortirent de nulle part et plaquèrent le jeune homme contre le mur, le plantant en utilisant ses vêtements. En effet, il utiliserai tous les sorts qui lui plairait contre elle, mais ses couteaux était bien plus puissant que cinq comme lui ou elle réunis. La violence et la surprise de la contre avait sans doute surpris le prédateur. Toujours a genoux, pleine de rires, elle s'approcha de lui et fit descendre ses couteaux vers le sol. Elle le regifla avec puissance et embrassa lentement sa joue pleine de sang. La tueuse lui sourit :

- Allez, romp ce sort ou mes armes te tueront sans aucune retenue. De plus, je ne vais pas te tuer, moi, mais il y a déjà quelqu'un qui m'aime et que j'aime aussi, lui ne retiendra pas ses coups comme moi. Il risque de te tuer tandis que moi je t'aime bien. Il sera là dans moins d'une heure. Allez, maintenant, dit moi ce que tu veux et je te l'accorderai peut etre, j'aime les gens qui ont du cran.

Ses lèvres étaient rouges de sang, elle passa sa langue sur sa bouche, avalant le sang qui la recouvrait. C'était doux et sucré, la souveraine aimait le sang... Mais était loin d'être vampire.

Le sort se dissipa et Yahely se releva. Elle leva sa main et les couteaux qui retenaient le nouveau venu se détachèrent du mur, le laissant tomber. Elle s'assit parterre, en face de lui. Avec un mauvais sourire, elle commença :

- Premièrement, je n'ai pas peur de vous joli garçon. Deuxièmement, si personne n'est acourut, c'est parce que si quelqu'un l'aurait fait, il serait mort, je refuse que l'on entrre dans ma salle du trône, même si je me fais attaquer. Troisièmement, vous ne me connaissez pas et je peux vous dire qu'un général qui me laisse respirer est plus interressant. Pour finir, me demander tout simplement de devenir mon général est bien plus simple, sachez le.

La reine le laissa réfléchir a ses paroles tandis qu'elle méditait elle même sur son sujet. Il voulait devenir son général des armées ? Mais en même temps il était venu la gêner jusqu'a chez elle. Quel manque de tact !!

- J'ai besoin de plusieurs généraux, et vous ne remplacerez pas Sephiroth.

Elle se releva, l'aidant a en faire de même d'une main tendue.

- Je peux vous nommer soldat et voir ce que vous valez. Si ça ne vous convient pas...

La porte s'ouvrit sous l'effet de sa magie.

- Je vous dit aurevoir...

Yahely detestait quelque chose plus que tout (sauf quand c'était elle qui le faisait) : l'hypocrisie. Et la monarque savait que lui était l'un des plus grands hypocrites qu'elle n'ait jamais connu. Elle tendit sa main vers la grande porte, celle ci s'ouvrit encore plus. La tueuse la lui désigna ensuite, du doigt, mais avant que celui qui la gênait ne la quitte, la souveraine lança d'une voie glaciale :

- N'imaginez pas un seul instant être plus puissant que moi et que vos généraux. Ne croyez pas non plus que mon bras droit se fera battre facilemen par vous. Vous n'êtes qu'un dévutant, tout autant que Sephiroth en mon empire, ce qu'il s'est passé ailleurs ne nous interresse pas alors pas question que j'embête mes généraux pour vos beaux yeux. Si vous desirez vraiment prouver votre puissance, une arène est a votre disposition, et je vous laisse la liberté de défier qui vous voulez, moi et mon bras droit compris. Mais sachez que si vous perdez un seul de ces duels, vous quitterez l'empire et je m'occuperai de la fin de votre vie personnellement. Souvenez-vous, vous n'etes qu'un pion. Allez, dégagez, ou ma vrai garde va arriver, et là, vous n'en sortirez pas indemne.

La jeune femme ne mentait pas. il mourrait si il commençait à se croire superieur. Elle possedait un don pour cela, évaluer la puissance de celui ou celle qui lui faisait face. Cette personne-la était puissante, au moins autant que Sephiroth. Mais il était aussi beaucoup plus gênant et bien plus désagréable a la reine. Ce n'était pas l'unique personne qui désapprouvait son général, ais Yahely aimait bien cet homme sombre qui se fichait de tout et qui, de surcroit, la laissait tranquille. L'Impératrice était une parfaite peste si cela l'imposait, souvent en fait, mais dans un autre cas, elle laissait tranquille, comme l'avait elle promis a Konori. Elle reservait à lui seulement un sentiment.

- Aurevoir. Je ne connais point votre nom et il ne m'interresse pas, allez à la troisième porte à droite, c'est le recrutement des soldats. Vous vous fereez tester et sans doutes prendre. Dans un autre cas, disparraissez de ma vie. Rejoignez un de nos ennemis, et amusez vous bien. Vous defierez Sephiroth ensuite, et moi et mes amis assisterons avec joie a ce combat singulier, si attendu de ma personne. Cet affrontement la n'est pas dangereux pour votre titre de soldat, mais il est obligatoire. Si vous battez mon général préféré, vous deviendrez général à votre tour, alors... esperez etre chanceux.

Quand il fut sortit, Elle retendit sa main ouverte et la porte claqua. Fatiguée, la souveraine s'installa et commença une petite sieste en attendant l'arrivée de Konori pour son rapport. Un de ces jours, elle reverrait cet homme, et elle esperait énormément que ce soit dans le lieu de combat, avec Sephiroth comme adversaire. Elle sortit son téléphone portable et commença a discuter avec le gardien de l'arêne. L'affrontement serait arrangé. Parfait. La torsionnaire eut un mauvais sourire.

hrpg : J'ai hâte de voir le Topic : "Vayne VS Sephiroth" xD

" Votre majesté est trop bonne."

Puis il se retourna sans dire un mot de plus. Il n'avait de toute manière rien à dire, l'humiliation était déjà assez grande comme ça. Il sortit de la pièce sans jeter le moindre regard en arrière. Il n'en avait pas besoin, car il savait déjà ce qu'il verrait : un regard hautain et un sourire narquois.

Il ignorait ce qu'il venait vraiment de déclencher, certains éléments lui manquait, mais il savait que le roue du destin était en marche, et que rien ne pouvait l'arrêter. Et son destin, il le sait, et ce depuis sa naissance : devenir un dieu, et libérer les mortels de l'influence néfaste des autres puissance divine, afin d'être le seul et l'unique à gouverner.

Il n'eut nul besoin de parcourir une longue distance pour arriver au lieux indiqué pour son enrôlement dans l'armée. Troisième porte à droite. Il arriva devant, on peut lire : "Recrutement des fantassins". Il toqua trois fois et attendit une réponse.